La psychologie du lion
Une première anecdote sur une interprétation erronée du comportement des lions lors d’une prise de pouvoir aux seins d’une troupe de lionnes.
Après avoir affronté et détrôné le lion dominant du harem de lionnes, on assiste dans la foulée à la mise à mort des lionceaux avec des scènes de cannibalismes.
L’interprétation fournie par les naturalistes est la suivante : les lions tuent les jeunes de la troupe afin que les lionnes soient de nouveau réceptives dans les jours qui suivent.
En fait, les lions ne considèrent pas ces lionceaux pour ce qu’ils sont des descendants d’un lion, ils les considèrent comme un gibier qui récompensent leurs efforts après la conquête du pouvoir (un petit creux à combler). Leurs propres petits, ils les reconnaissent parce qu’ils les côtoient dès la naissance. Leur lenteur d’esprit en est certainement la cause.
La psychologie du zèbre
Un comportement similaire à celui du lion me talonne l’esprit.
Nous assistons parfois, dans les savanes africaines, à un comportement animalier digne de zébrus.
Un étalon rayé s’acharne sur un jeune poulain et le met à mort comme s’il s’agissait d’un concurrent de même catégorie de poids. Je précise que l’étalon vient tout juste d’accéder au pouvoir. Eh bien, c’est bien cela. Toujours leur lenteur d’esprit
La psychologie du serpent
Toujours dans ses savanes africaines, nous sommes hypnotisés par la danse du serpent.
Deux serpents se rencontrent d’une même espèce et s’essaie mutuellement à couvrir l’autre. Ce spectacle peut parfois durer une heure. A un moment, ils réalisent qu’ils sont tous les deux des mâles. Toujours cette lenteur d’esprit.
Une autre espèce en Arizona pratique la partouze. Des pelotes de serpents s’adonnant à la luxure.
Une conclusion possible, certaines espèces de serpents n’ont pas de déterminisme sexuel.
La stratégie des lions
Tous les commentateurs des documentaires animaliers nous présentent les lionnes durant la chasse comme de fin stratège en embuscade. Déjà, pour organiser une stratégie, il faut un langage élaboré, les lions ne parlent que dans les dessins animés, donc ils ne communiquent pas. Il n’y à donc aucune stratégie lorsque les lions sont en chasse. Ceux sont justes des animaux sociaux qui partent en groupe relever le gibier. La seule chose qu’ils ont appris, c’est l’approche silencieuse. On sait que ces félins se mettent sous le vent pour ne pas être détectés par l’odorat des cervidés. Ils se positionnent de cette manière, simplement pour renifler leurs proies sans être vues, concomitance de fait. Durant l’assaut, c’est un peu au petit bonheur la chance avec des qualités physiques indéniables, réflexes, vision, puissances musculaires, crocs et griffes. Point.
L’amour maternel du babouin
Les femelles babouins sont très protectrices vis à vis de leurs progénitures. Elle les materne par-delà la mort. Parfois elle conserve la dépouille d’un petit pendant plusieurs jours dans leur giron. On traduit cela par un amour extrême pour leurs juvéniles. En fait, elles sont considérablement idiotes. Elles n’ont pas pris la mesure de la maladie irréversible qui frappe leurs jouvenceaux, la mort.
La phytothérapie
L’histoire de la phytothérapie se positionne sur des déductions issues de l’observation empirique dans le milieu naturel. Donc voici une déduction empirique. Un paysan observe qu’une de ses vaches beugle plus que de raison. Après occultation, il découvre qu’elle souffre de douleurs hémorroïdes. Lui-même partage ce désagrément avec sa vache. Un jour, sa vache revient à l’étable dans de meilleures dispositions, pratiquement plus aucun vagissement. Le lendemain, il décide de suivre sa vache pour comprendre ce qui se passe. Il l’observe plusieurs jours durant et constate qu’elle a fortement tendance à se réfugier dans une rivière et à brouter des végétaux aquatiques. Il va rechercher ce végétale et demande à un ami plus compétent qu’elle est le nom de cette plante. L’ami lui répond qu’il s’agit soit de la Ficaria, soit de la Renonculus. D’ailleurs le paysan fait de même jugeant la synergie plante baignade plus efficace. Depuis, il circule dans les milieux autorisés que ces plantes sont à prescrire pour lutter contre les douleurs hémorroïdales. Mais la réalité est tout autre. La vache est reconnue pour être un animal particulièrement stupide. Le fait de la sélectionner pour en faire une usine à lait, ne le pas particulièrement doté d’un intellect aiguisé. D’ailleurs tous les animaux domestiqués sont moins intelligents que leurs homologues sauvages. Ce mamellaire est un végétarien exclusif. A la vue de ses végétaux verdoyants et ondulants dans les flots, elle se précipite vers son garde-manger et broute avec ardeurs ce suprême de chlorophylle. Ce faisant, elle immerge son arrière train dans ses eaux froids, attendrissant par la même les tissus gercés et resserrant les chairs congestionnés. Conclusion, trempez votre postérieur dans une eau froide, vous vous assurez d’une meilleure thérapie que celle de devenir un herbivore.